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Sommaire

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Désigner l’opacité – Florence Favier

Il n’y a pas de pulsion de paix – Marc Lévy

Polemos est le père de toutes choses – Philippe De Georges

Retrouver la mémoire – Claudia Gonzalez

Après la guerre: réconciliation, mémoire et responsabilité – Guy Briole

La cité nécessairement divisée – Francis Ratier

Fiction de paix, faux réel de la guerre – Enric Berenguer

École- Cartel – Passe – Dalila Arpin

 

Les solutions collectives peuvent mener au pire quand elles émanent d’un phénomène d’identification à l’Idéal qui déchaine la pulsion de mort et la jouissance. Pour Freud, déjà, le collectif est « une multiplicité d’individus prenant le même objet comme Idéal du moi1 ». Avec Lacan le recours à cette identification sera une réponse du sujet, marqué par le discord originaire, face à l’inexistence de l’Autre. 

Cependant, le collectif peut s’avérer être une solution pour faire avec le discord et la jouissance qui habite le sujet, dans la mesure où il n’est plus l’affaire de « la masse » mais celle de sujets dans leurs singularités.  Car, « une communauté est possible entre des sujets qui savent la nature des semblants, et dont l’idéal, le même pour tous n’est pas autre chose qu’une cause par chacun expérimentée au niveau de sa solitude subjective ».

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